Grâce à l’avènement d’internet depuis la fin des années 90 et le boom des réseaux sociaux depuis la fin des années 2000, les entreprises ont trouvé de nouveaux moyens de communiquer et d’être présent. L’univers de la publicité bénéficie ainsi de nouvelles formes de diffusion sur internet et par là-même cela profite aux marques et aux enseignes. Le Groupe SCP, spécialiste des plans médias accompagne les entreprises dans leur choix de publications print, web et vidéo, notamment de publireportages dans Challenges, Capital ou Management.
A l’origine destiné uniquement et exclusivement à la presse papier, le publireportage gagne en lisibilité grâce à internet. En effet, la toile permet désormais de diffuser largement l’information sur différents supports et offre aux marques et aux enseignes une plus grande possibilité d’être lue et vue. Des magazines comme Challenges, Capital ou Management, avec leurs sites internet d’information en continu, profitent ainsi d’une manne économique non négligeable en offrant quelques pages (print et web) et emplacements aux annonceurs publicitaires sous la forme de publireportages.
Evitez le jargon !
Articles sponsorisés ou publi-communiqués, ces publireportages reprennent les codes de l’article traditionnel et sont écrits dans les règles de l’art journalistique. Souvent, un rédacteur spécialisé, ancien journaliste, aura accompagné l’entreprise pour trouver les mots justes, la ligne éditoriale et le pitch adapté à la cible de lecture. Le Groupe SCP, par exemple, met à disposition de ses clients un réseau fort de rédacteurs spécialisés dans le monde de l’économie, notamment, afin de comprendre et vulgariser l’information qui sera diffusée. En effet, bien souvent les entreprises ont leur jargon, et il faut savoir s’en détacher pour s’adresser à l’ensemble des lecteurs d’un magazine. Le rédacteur spécialisé est là pour ça.
Retour sur investissement publicitaire
Si l’achat d’espaces publicitaires dans la presse traditionnelle et nationale papier s’avèrait jusqu’à lors très onéreuse, la démocratisation des publireportages print assure aujourd’hui un meilleur retour sur investissement. En effet, grâce à la présence de dossiers thématiques sponsorisés dans les magazines spécialisés ou grands publics et à la diffusion des publireportages sur le web et sur les réseaux sociaux, l’accès à ce type d’outil publicitaire est plus aisé pour les marques. Les petites enseignes, créateurs indépendants, start-ups et consultants freelances ont désormais la possibilité de communiquer eux aussi sur les grands médias nationaux à moindre frais. La publication en ligne du contenu éditorial, poussé par les réseaux sociaux comme Linkedin, Facebook, Twitter ou Instagram, offre une vitrine de visibilité supplémentaire non négligeable. Et là, le publireportage gagne encore en efficacité.
Durée de vie rallongée
Diffusé en priorité sur le magazine papier, le publireportage bénéfice désormais d’une seconde vie grâce au web. Avec une durée de vie ordinaire d’une semaine à un mois, le publireportage gagne jusqu’à 3 mois voire plus de visibilité sur le web. Par ailleurs, l’audience s’en voit aussi multipliée : de milliers de lecteurs du format papier, le publireportage peut être lu par des millions d’internautes une fois poussé sur les réseaux sociaux, et notamment ceux spécialisés dans son domaine d’activité, qu’il s’agisse de Linkedin, Facebook, Twitter ou Instagram. Les marques et les enseignes ont tout à gagner à communiquer via le publireportage, notamment sur Challenges ou Capital, en print et en web, puisque ce dernier allie à la perfection communication et information.