En matière de communication écrite, il faut bien distinguer l’article de presse et le publireportage. Ce dernier est rédigé par un rédacteur spécialisé, rémunéré par l’annonceur. Contrairement à l’article de presse, écrit par un journaliste rémunéré par le titre de presse. Grâce à son expertise et son réseau de correspondants, le Groupe SCP offre aux entreprises la possibilité de communiquer via les médias, comme
par exemple Challenges, par le biais de publireportages de qualité. Mais comment choisir le bon format d’un publireportage ? Explications.
Le Groupe SCP dispose de la maîtrise des calendriers de publications et d’événements rédactionnels liés aux principaux titres de presse en France. Comme dans Challenges, Capital, Management, versions print et web, par exemple. Mais aussi dans Gala, Paris Match, VSD ou encore Voici. En règle générale, le Groupe SCP achète des espaces dans les plus grands médias nationaux. Ainsi, le publireportage peut être publié indifféremment dans un quotidien, un hebdomadaire ou un mensuel. Cela dépend du budget de l’annonceur et de son plan stratégique en matière de communication. Pour autant, le publireportage répond à quelques règles basiques d’écriture.
Format interview
Inspiré fortement de l’article de presse, le publireportage peut revêtir plusieurs formes rédactionnelles. D’abord, celle d’une interview sous forme de questions-réponses qui laissera la parole la plus libre à l’annonceur. Celui-ci interviendra d’ailleurs toujours en correction et en modification de l’article. Cette forme de publireportage reste la plus familière de l’article de presse car il s’agit d’accentuer l’écriture autour du verbatim : la parole d’un dirigeant, d’un directeur commercial, d’un ingénieur ou même d’un client. Sa parole, fluide et directe, doit être la plus franche et la plus simple possible.
Ecriture publicitaire
Mais il y a également une seconde forme d’écriture pour le publireportage. Et là, il s’agit davantage d’une écriture publicitaire, axée sur le produit ou le service. Si l’utilisation de cette forme-là doit susciter l’intérêt, le texte est alors davantage orienté sur les qualités, les avantages, les expériences clients, les retours d’utilisateurs d’un produit ou d’un service. Le texte pourra alors se découper en puces numérotées afin de mettre en avant les points importants. Ce qui a pour fonction d’améliorer la lecture, de renforcer la crédibilité et d’être plus facilement mémorisable. Le ton utilisé pour la rédaction de ce publireportage doit être familier de la relation client – produit.
Qui écrit un publireportage ?
Mais qui a le droit d’écrire un publireportage ? Souvent, il s’agit d’un rédacteur indépendant, journaliste de formation ou chargé de communication spécialisé dans l’écriture journalistique. Il faut savoir qu’un journaliste professionnel n’a pas le droit d’écrire un publireportage, et cela afin de préserver son indépendance et sa subjectivité. Pour autant, dans la réalité des choses, tous les journalistes qui écrivent pour la presse écrite ne sont pas en possession d’une carte de presse professionnelle. En effet, il faut pour cela qu’ils retirent la majorité de leur rémunération annuelle de leur travail de pigiste professionnel. Ce qui est rarement le cas au vu des tarifs pratiqués dans la presse écrite, qui sont extrêmement bas. Les journalistes ont alors souvent besoin de compléter leurs revenus par des missions de communication. Et donc de rédaction de publireportages. Mais ils savent faire la part des choses entre l’information et la communication. Ainsi, pour choisir un bon format de publireportage, la base est de faire appel à un rédacteur dont c’est la spécialité. Journaliste professionnel ou rédacteur spécialisé, l’intervenant saura maîtriser le sujet, préparer son interview de manière professionnelle et mettre à profit son expérience pour écrire un publireportage efficace et de qualité.